Lambert

Fantasmagorique et mélancolique, le pianiste et compositeur allemand LAMBERT est inclassable. De Satie au jazz modal en passant par une pop toute romantique, sa musique traverse les genres. Tour à tour hypnotique, sombre et enchanteur, il excelle à créer des ambiances et à fasciner l’auditeur. LAMBERT a un sens profond du drama, laissant souvent de la place à un jeu énigmatique et des mélodies colorées. La légende Lambert commence en 2014 quand des vidéos apparaissent sur la toile montrant un homme masqué jouant ses accords sur le béton d’une cité en ruines de Sardaigne. Son masque sarde ne l’a pas quitté depuis. « Le masque est un outil esthétique », déclare-t-il. « Je voulais créer un monde autour de Lambert qui va contre les stéréotypes de la musique pour piano – comme les chandelles romantiques, par exemple – et qui se combine quand même bien avec la musique. Cette idée de personnage venant d’un autre monde m’a toujours séduite. »

Proche de beaucoup de musiciens, Ólafur Arnalds, Nils Frahm, José Gonzalez, Phoenix, Boy, Moderat,  LAMBERT est un talent singulier dont la vision audacieuse et le flair de composition sont inspirés autant de la musique pop, que de tout répertoire classique. LAMBERT a créé son propre langage sonore envoûtant qui remue l’âme et inspire l’esprit

Cet album a été initialement écrit pour une série policière intitulée The Stranger, qui n’a jamais abouti. « Actually Good » est l’histoire d’un échec qui se termine par un album, qui est Actually Good. Les vidéo clips ont été créés à partir de séquences sauvées du shooting de la série, récupérées après une baille juridique ardue menée jusqu’à la fin du tournage.